L’enfant des murailles, par Mattéo Mauras
L’enfant des murailles
Les mots étaient désignés par nos clins d’œil. Le lecteur, dans son jardin personnel, découvre l’inconnu grâce au relief de l’écriture. Il s’agit d’une histoire trouble et pour l’éclaircir, il faut grimper une grande échelle en passant par la solitude, la pluie et enfin le soleil. En bas de l’image, au centre, il y a une petite tête avec un anneau qui l’entoure et de fines cordes qui l’attachent à un ballon géant avec un œil en son centre. Cela ressemble à un monstre des profondeurs de la nuit, fabriqué par l’Empereur de Chine qu’il décrit comme un chef-d’œuvre. Il pense que c’est un esclave oublié et que c’est sa silhouette errante. Pour lui c’est le déluge, la fin du monde. Il n’a que son ombre à qui parler et il est dans son cercle depuis des années.
Ce texte à été écrit par Mattéo Mauras à l’aide de l’Atelier d’écriture des éditions Zulma. D’après le nouveau magasin d’écriture d’Hubbert Haddad. http://www.zulma.fr

