2020-2021Transition écolo

la ville et les différentes utilisations de l’énergie

Les énergies renouvelables sont les énergies naturelles qui se renouvellent à l’échelle humaine : le soleil, le vent, l’air et l’énergie thermique du sol.

Une énergie est dite renouvelable lorsqu’elle provient de sources que la nature renouvelle en permanence, par opposition à une énergie non renouvelable dont les stocks s’épuisent.

Les énergies renouvelables proviennent de 2 grandes sources naturelles : le Soleil (à l’origine du cycle de l’eau, des marées, du vent et de la croissance des végétaux) et la Terre (qui dégage de la chaleur).

Surnommées « énergies propres » ou « énergies vertes », leur exploitation engendre très peu de déchets et d’émissions polluantes mais leur pouvoir énergétique est beaucoup plus faible que celui des énergies non renouvelables.

De 2000 mètres d’altitude à 2000 mètres sous terre, découvrez quelques unes des énergies renouvelables.

Au cours des années, de plus en plus de transports sont apparus certains sont polluants voir très polluants et d’autres sont beaucoup plus écologiques et ils sont extrêmement dangereux car rien qu’en 2016 il y a eu 48 000 décès lié à la pollution, ce qui représente 9 % de la mortalité en France.

Voici la liste de tous les transports polluants :

14 g de CO2 par km pour le train (composé de nombreux passagers !)

42 g de CO2 par km pour une petite voiture.

55 g de CO2 par km pour une voiture moyenne.

68 g de CO2 par km pour un bus (composé de nombreux passagers !)

72 g de CO2 par km pour un deux roues motorisé.

285 g de CO2 par km pour un avion (composé de nombreux passagers !)

Les différentes lois ou plutôt règles sanitaires mises en place sont les suivantes :

  • il doit y avoir un contrôle régulier et une surveillance de l’air
  • la population doit être informée sur la qualité de l’air
  • Les normes sanitaires mises en place doivent être respectées
  • Et des plans d’action sont mis en place dans les zones où des dépassements de normes sanitaires sont observés

Je vous ai cité les règles les plus importantes mises en place mais de nombreuses directives et règlements concernent la réduction des émissions issus des transports, des activités industrielles, de certains appareils domestiques et de l’utilisation de certains produits.

Pour ce qui est des transports non polluants il n’en existe pas énormément mais assez pour pouvoir réduire l’émission de CO2 comme le vélo, les transports en commun, la marche à pied ou bien même le covoiturage. En appliquant cela au quotidien de notre vie nous pouvons diminuer la pollution en priorisant les transport non polluants.

Bien que les villes n’occupent que 2 % de la surface du globe, elles consomment 75% de l’énergie produite et sont à l’origine de 80% des émissions de CO2. Dans ce contexte, les agglomérations se doivent d’orienter leurs politiques d’aménagement de façon à minimiser leur dépendance énergétique. En France, les villes entament leur révolution énergétique, chacune à sa manière.

Miser sur la construction et le bâtiment comme Grenoble – Alpes Métropole

Qualifiée de « ville durable exemplaire » par le gouvernement, Grenoble a lancé, en 2003, le premier écoquartier de France.

La ZAC de Bonne a remporté le Grand prix national du palmarès des écoquartiers en 2009 pour ses bureaux à énergie positive, ses toitures équipées de panneaux photovoltaïques, ses bâtiments de conception bioclimatique et son système de co-génération au gaz naturel et de rafraîchissement par pompes à chaleur via l’eau des nappes phréatiques. Le quartier de la Villeneuve est également reconnu comme le premier projet de renouvellement urbain et social en France.

La ville a l’avantage de posséder ses propres acteurs énergétiques. La Société d’Economie Mixte (SEM), Gaz Electricité de Grenoble (GEG) et la Compagnie de chauffage intercommunale de l’agglomération grenobloise (CCIAG) qui jouent un rôle majeur dans la planification de l’énergie. Cela facilite la mise en place de coopératives de réseaux de distribution de l’électricité intégrés et thermique, la gestion de l’énergie, la gestion dynamique des ressources en eau et la promotion des ressources énergétiques durables.

Sensibiliser ses habitants grâce aux smart grids, le choix du Grand Lyon

La ville de Lyon a choisi de sensibiliser sa population à la maîtrise de l’énergie via les réseaux intelligents. Plusieurs expérimentations sont en cours. Depuis 2011, 175 000 logements ont été équipés de compteurs communicants « Linky » d’ERDF.

Le projet Lyon Smart Community mise sur la participation du citoyen pour optimiser la gestion des énergies. Grâce aux compteurs intelligents pour l’électricité, le gaz et l’eau, la ville a mis en place un système de gestion commun des données sur la consommation énergétique du quartier.

GreenLys, en partenariat avec Grenoble, est aussi un projet de réseau intelligent. Il se concentre sur le déploiement d’outils permettant d’équilibrer la production d’énergie (photovoltaïque, éolien, co-génération), de fournir des services aux clients pour limiter les coûts d’approvisionnement. Pour l’instant, le projet est mené dans les 4ème, 5ème, 6ème et 9ème arrondissements de Lyon ainsi que dans le quartier de La Confluence (2ème).

Autre exemple, Smart Electric Lyon est un projet de démonstrateur dans lequel l’usager est au cœur de l’expérimentation. 10.000 foyers du quartier de la Part Dieu seront équipés de nouveaux matériels électriques, les données recueillies participeront à l’optimisation des réseaux de distribution.

Développer les transports alternatifs, le cas de la Communauté urbaine de Strasbourg

Strasbourg compte porter de 20 à 30 % la part des énergies renouvelables dans sa consommation d’énergie d’ici 2021. Elle est l’une des villes les plus innovantes en matière d’éco-mobilité et encourage l’utilisation des transports en commun ou du vélo.

Auteurs : Wael et Malick, 2nde 12