Les Japonaiseries
Les lolis aux cheveux rose.
Comme l’idéal de l’imagination japonisante, de son état papier à celui de audiovisuel
Oui , j’aurais pu mettre un personnage avec des cheveux rose pour illustrer le titre, mais je me rebelle .
Oui, pour ce qui connaisse. Je suis désolé de vous annoncer. Mais je fais parti de la team emilia
Oui , SAO est à la fois, mes light novel, mes mangas et mon anime favori . Désolé d’avoir mes goûts .
Prologue : Les japonaiseries sous toutes ses formes.
Commençons par nous appuyer sur une figure de style, celle de la métonymie .
Afin de rappeler aux élèvex qui sont bel et bien dans un journal scolaire et leur échec scolaire en français, mais aussi pour souligner le fait que l’auteur de cet article est cultivé !
Une métonymie, par définition, c’est une situation ou on confond le tout pour le contenant et le contenant pour le tout. C’était soit ça, soit une référence à star wars pour commencer.
De nos jours, beaucoup de personnes, ceux qui s’en désintéressent , tout comme ce qui aiment l’industrie des productions japonaises emploient souvent une erreur réductrice pour se référer à cette même industrie. Ainsi, tout ce qui est japonais, rythme avec le mot « manga ».
Ainsi, les animés japonais, les light novel, les viseuls novels, les mangas sont nommés comme étant des manga dans l’imaginaire collectif. Alors que les manga ne représentent qu’une partie de l’industrie des japonaiseries.
Aucun terme ne rassemble, les animés, les jeux, les doshinjis, les light novels, les AMV , les hentai, les mangas, les OAV, ONA et bien autres média dérivé du divertissement japonais.
Tout comme aucun terme ne relie des livres ou des BD à leur capacitation cinématographique. Nous ne disons pas que nous allons voir des BD au cinéma quand nous sommes aller voire LEGO Batman movie. Nous ne disons pas que nous avons acheter un jeu vidéo quand nous avons vu le dessins animés de Sonic X ou bien de Sonic BOOM. Oui, Sonic est le jeu favori de l’auteur.
Pourtant , on dit à tort, que nous avons vu un manga , quand on voit un animé. Stupide, non ?
Et cela souligne le véritable problème que je veux aborder dans ce prologue qualitatif. Au-delà du fait que beaucoup ont déjà rage quitte en voyant que j’aime traîner en longueur ou ceux qu’il déteste leur prod de Français , et ceux qu’il aime pas mes références de fan boy .
Ce que je veux montrer, c’est que l’industrie du divertissement jap est sous-valorisé, méconnu du grand public.
Mais que de nombreuses personnes qui aiment ces média, malgré qu’ils ne soient pas japonais, sont souvent montré du doigt, ces derniers sont des OTAKU véritablement passionnés.
Ainsi, les fans les moins fort psychologiquement, sont contrés d’aimer en secret. Et cela pour respecter la société qui promue le conformisme de manière inconsciente. Bien que certains affirment leurs amours au grand jour grâce à leurs courage.
La masse se contente de résumer tout un marché au dimension titanesque à trois titres. Ce que la plupart des lecteurs connaisse, à savoir : Dragon ball, naruto et one piece. Ainsi , affirmer qu’on aime ces 3 œuvre ne veut pas dire qu’on aime les japonaiserie.
Cela veut juste dire, que vous êtes identiques aux autres., que vous aimez le populaire.
Je suis certain que beaucoup ne savent même pas qu’il existe des centaines de titres différents.
Et cela car vous ne laissez aucune chance à cette industrie que vous ne connaissez pas, car le marché vous empêche de la connaître.
L’objectif est de comprendre par quelle magie, des dessins peuvent prendre vie pour nous donner à ceux qui le veulent, une nouvelle façon de dessiner le court de leur vie.
Comment ce marché arrive à donner de la couleur aux hommes qui vivent dans un monde fait de noir et blanc ? Ainsi qu’apprendre à connaître les différents acteurs et média qui animent cet art ?
Oui, on peut parler de problématique, ici.
Rédigé par Val122


