Filet : Pas de silence pour la violence conjugale

Qu’est-ce qu’il faut faire si tu connais une victime de violence conjugale ?

Les faits

Malheureusement, très souvent les femmes et les enfants subissent des violences conjugales. Nous pensons que c’est loin, mais en vrai c’est très proche. Mais pourquoi nous ne savons rien sur les victimes ? Habituellement, ces dernières ne disent rien, car elles ont peur de leurs agresseurs (qui se vengeront sur elles s’ils l’apprennent).

Syndrome de Stockholm ? Certaines femmes pensent que c’est de leur faute et continuent d’aimer leur maris qui les frappe.

Timidité ? D’autres pensent que les gens vont s’en moquer… On ne sait jamais. Mais ce sont les faits : 41 % des femmes subissent malheureusement des violences conjugales. Et la police ne découvrira que trop tard ce qu’il s’est passé après la mort de la victime. En 2019, il y eu 146 femmes tuées par leur maris en France.

C’est interdit par la loi !

Bien sûr les violences conjugales sont interdites par la loi. Il existe 3919 associations qui peuvent aider les femmes en danger. Il faut dire que si une victime de violence conjugale appelle l’association MONTJOYE à Nice (aide aux victimes), l’agresseur ne le saura pas. Et cette femme recevra de l’aide (un appartement, l’aide d’un médecin, etc.)

Elle n’a pas d’envie d’admettre…

Comme nous l’avons déjà dit, il existe beaucoup de facteurs. De plus la violence conjugale est un processus long et compliqué qui demande une aide psychologique. Si votre amie, votre voisine, votre fille ou votre sœur est en danger, exprimez lui votre soutien, restez disponible et à l’écoute. Soyez présent au moment où elle en aura besoin.

Les sources :

https://arretonslesviolences.gouv.fr/

https://www.ecouteviolencesconjugales.be/

P. G. apprentie journaliste pour Le Segur (5ème)