Synthèse: RETRACER LA RIANA Un projet qui vous fait découvrir notre quartier
Connaissez-vous le quartier de l’Ariane ? Magali Revest, Charlotte Némoz et Frédéric Pasquini vous font découvrir L’Ariane à travers un projet artistique. Nous vous l’expliquons en quelques mots…
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QUI SONT-ILS ?
Frédéric Pasquini est un auteur photographe, membre de l’agence de presse de Hans Lucas. Magali Revest est une chorégraphe, metteure en scène, plasticienne. Charlotte Némoz est architecte paysagiste. Ils ont réfléchi ensemble à ce projet dans le cadre de l’association Zootrope .
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LA RIANA, C’EST QUOI ?
Ce projet consiste à retracer les pas de trois personnages : l’enfant des collines, le papetier et le citoyen. Ces petits personnages ont pris vie dans l’imaginaire des enfants de l’association API Provence. On découvre ces 3 figurines sur le sols, les murs, les poteaux du quartier. Ils nous mènent dans des lieux inhabités et délaissés voire inconnus des habitants.
Leur point de départ est le cour Albert Camus qui se situe à côté du collège. Pour les illustrer, une fresque représentant une carte imaginaire de l’évolution des paysages du quartiers est peinte au sol.
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POURQUOI CE PROJET ?
Ce projet a pour but de faire découvrir aux habitants l’histoire du quartier dans lequel ils vivent, mais aussi et surtout faire découvrir de nouveaux espaces. De plus, tous les habitants de l’Ariane ne sont pas forcément au courant de son histoire et cela peut les instruire. « L’objet de ce projet est de rendre visible auprès de tous la biodiversité sensible d’un territoire riche de la pluralité des ces paysages. », nous apprend Magali Revest lors d’une sortie pédagogique pour nous expliquer son projet. Elle pense aussi que cela peut aider à prendre conscience de ce qu’il y a autour de nous, une question d’actualité qu’on étudie en classe.
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QUE PENSONS-NOUS DE CE PROJET ?
Nous pensons que c’est un excellent projet pour nous et tous les habitants de l’Ariane car cela nous fait découvrir la vie de notre quartier et de nouveaux endroits, et peut être amener à voir le quartier d’un autre œil. De plus, cela peut redonner des couleurs et égayer les lieux de vie.
Ce qui est dommage, c’est que la plupart des jeunes ne se sentent pas concernés par ces peintures, c’est donc à nous, élève du collège et futur citoyen, d’informer nos camarades et même les adultes !
Khadija et Rime, 4°2 Collège Maurice Jaubert