“Tout feu tout femme”: Au moins une fois par mois, je vous livre des portraits de femmes. Chaque épisode rend hommage à une femme d’aujourd’hui, via une interview, ou à une femme d’hier, via une biographie. Un podcast féministe où il est question d’identité, de parcours de vie, de droits, de valeurs…
Cliquez ici pour accéder à l’épisode 3 : Dans ce troisième épisode, je m’apprête à esquisser le portrait d’une personne à la révolte indomptable et à l’éloquence remarquable, une femme qui s’est jetée corps et âme dans un métier qui de toute évidence ne voulait pas d’elle avant de reconnaître son excellence dans le domaine. Une femme qui de son enfance à l’âge adulte, a pris les mots comme des armes pour vaincre les inégalités et pour défendre les causes qui lui semblaient justes. Une femme qui a foncé tête baissée dans un combat des plus difficiles, marchant sous le flot des préjugés et des remarques déplacées mais qui malgré ça, ne s’est jamais arrêtée. Une femme qui voulait changer le monde et qui a réussi, en laissant sa trace sur des textes de loi qui ont changé bien des vies. Alors aujourd’hui, auditeurs et auditrices, vous l’aurez peut-être compris, je vous parle de Gisèle Halimi…
Script et montage: Malou
Sources :
– Une farouche liberté, Gisèle Halimi et Annick Cojean, Grasset, 2020
– extraits de « 1972 : Gisèle Halimi défend l’avortement », Archive INA, Côte d’Azur Actualités, ORTF, 27/10/1972 https://youtu.be/v6V7N3AQVg8
-« Ainsi parlait Gisèle Halimi du viol en 1977 » Frédérick Moulin 2020 – franceinfo2020 https://youtu.be/A0O1xgnwkw8